HEADCHARGER SUR LA ROUTE DU METAL N’ ROLL<br><br> HEADCHARGER a refait le plein et arrive pour livrer “The End Starts Here”, son troisième album. Comme une vieille Mustang bien rodée et toujours avide de kilomètres.<br><br> Mais à quoi carbure la vrombissante machine HEADCHARGER ? A un savant mélange deux temps : metal et rock ‘n’ roll. Dans le coffre, deux précédentes galettes sorties en 2005 (Headcharger) et 2007 (Watch the Sun). A son bord, un quintet bas-normand qui aime autant les virils coups d’accélérateur dignes de Every Time I Die (The invention of solitude) que les ambiances rock sudiste à la Lynyrd Skynyrd (Harvey Keitel’s syndrome). Si le bolide embraye sur une sombre complainte que ne renierait pas Alice in Chains (The end starts here), c’est pour mieux repartir sur les chapeaux de roue (Without a nation), tout en laissant parfois échapper de ses vitres baissées un air entraînant d’harmonica (Would you ?). <br><br> Avec plus de 300 concerts au compteur, HEADCHARGER déboule dans les villes de l’Hexagone pour assurer des shows aussi bien réglés qu’un V8 de compétition : rythmique suralimentée, guitares mordantes, chant tour à tour ralenti puis brutal. Préparé par Alan Douches (Mastodon, Sepultura, Fat Boy Slim) au mastering, engagé par l’écurie XIII Bis Records (Mötley Crüe, Nine Inch Nails, Fiction Plane, Skunk Anansie...), HEADCHARGER met les gaz le 25 janvier 2010 pour “The End Starts Here”. <br><br>