Anti-Skapitalista, ska soufflé vénèr / punk cuivré déter.
Nina au chant et à la guitare, Orville et Django aux saxophones, Mia à la trompette, Inês à la flûte traversière, Enki à la basse et Cyril à la batterie. Ça gueule, ça danse. Du punk à la sauce piquet de grève.

Fanfare from Brussels!

TRANS*PORT PUBLIK c'est deux meuf trans qui hurlent contre le cis-tème

c'est


basse
batterie
rage
amour
queerness
punk.

LE CAMP DES RATONS – La Bio officielle

A la base, trois ratons-laveurs.
Une vie de ratons-laveurs banale. On appelle ce moment le Calme.
Puis la centrale nucléaire de Tiange, juste au-dessus de leur terrier. Ça, c'est le Bouleversement.
Ont-ils été se baigner dans les cuves de déchets nucléaires ? Non. Mais leur pote Fredo le ragondin, oui. Puis ils ont mangé Fredo – c'était un pacte, vous comprenez ?
Vient la Transformation. Ils sont autre chose. Plus des ratons-laveurs, certainement pas des humains, pas non plus des ninjas, des mutants, dirons-nous. Des mutants avec des pouces opposables, des cordes vocales puissantes et un regard acéré sur le monde qui les entoure.
Après la Transformation, c'est la période des Voyages. Les Ratons partent chacun de leur côté pour découvrir d'autres horizons. Ils se retrouvent après quelques années avec une même passion.
La période qui suit s'appelle le Terrier. Les Ratons se planquent sous Tiange et produisent plein de morceaux de musique, une musique qui donne envie de danser.
Ensuite, la Rencontre. Avec trois humains sympas qui s'éclatent sur les sons des Ratons. Et qui leur proposent de faire des concerts un peu partout. Le deal est simple : Les humains s'occupent des trucs relous, la comm', la compta, le montage, le voyage... et les Ratons font le show.
C'est comme ça que ça commence.