While orthodoxy and predictably has taken its toll on the once so exciting Norwegian Black Metal scene, a quite different breed of metal is establishing itself in the northern outpost of our civilization. At the forefront
of a scene boiling with sludgy and industrial
metal is Arabrot, a band that are now about to be
represent for the young generation what the sum of
Melvins, Throbbing Gristle and Swans was to the
generation before them.

Formé au départ de Jean-luc (L'égo, Galvanize, ...) à la basse et de Manu
(L'égo, Slippy Lily, Ginette, ...) à la batterie le groupe est rejoins par
Didier (Butcher Boogie et Alomark) à la guitare. Quand Gwenn (Beti Ciclope
et Pétrole Trouble) arrive au chant il y a un an, les jams se transforment
en morceaux et le groupe décide de sortir de sa cave pour trouver quelques
schtroumpfs à croquer armés de leur musique. Elle se veut sombre,
aggressive et sensuelle, ne se réfugiant derrière aucun courant musical ni
aucun idéal, elle dévore ce qui reste à grappiller de vie avant
disparition totale.

Carpe diem quam minimum credula postero (cueille le jour présent et sois
le moins confiant possible en l'avenir) comme dirait l'autre.