Soucieux de se glisser partout où l'on peut trouver une scène ou un dancefloor Bracco destine ses morceaux à celles et ceux qui ont choisi de ne pas choisir, celles et ceux pour qui le punk et la techno portent la même pulsion hédoniste, et qui assouvissent leur vice sans un regard pour les vieilles chapelles.
Sorti en 2018, le premier album de Bracco, " GRAVE ", a été unanimement salué par la presse spécialisée et les clients des disquaires privés. La sortie de ce premier opus leur a permis de jouer sur les grandes scènes françaises telles que Les Bars en Trans, La Villette Sonique, Le HOPHOP festival, Le Garage MU festival, La Machine du Moulin Rouge, etc.
Avec un live abrasif pour les cœurs et les cerveaux, le groupe s'est également produit dans toute l'Europe avec quatre tournées européennes à son actif.

Bardé de ses sérénades indie/post-punk conçues pour toute la famille, marcel est un fantôme carnavalesque qui aime faire beaucoup de boucan tout en se frottant à la joue des humains. Comme un chat boiteux qui aurait des cymbales accrochées à la queue : insupportable mais étrangement sympathique. La musique de marcel doit autant à Jonathan Richman qu'aux frappes tendues de Steven Gerrard ; aux guitares tordues de Sonic Youth qu'à l'européanisme de TC Matic ; aux dessins animés débiles de leur adolescence qu'à la philosophie de Jean-Claude Van Damme. Leur premier album "charivari", sorti le 3 mars 2023 chez Luik Records et mixé par Ben Hampson (DITZ, Blood Red Shoes), invite les auditeurs à méditer sur les modalités de sabotage du monde civilisé ainsi que sur le profond mystère de l'inconscient collectif, le tout sur fond de sifflets brésiliens, de derbuka, de kazoo et autres joyeusetés bizarroïdes.

L'album s'attire rapidement les faveurs de Steve Lamacq et John Kennedy qui diffusent "playroom" dès sa sortie dons les incontournables 'New Music Fix' sur BBC 6 et X-Posure sur Radio X.

A compendium of croaking ballads and macabre flirtations: in DRAMARAMA, Fantôme Josepha take their dark fixations into the wayward passages of groovy psychedelia and goth exotica. Mr Marcaille and his Josepha ghost do their haunting thing, and it's a serious trip.

WIEZ: How do you pronounce it? No one gives a shit. It’s an acronym, always shifting like each of her live sets, never twice the same. She brings a raw industrial techno project built on unpredictable machines, distorted vocals, and a broken bass played with hands way too small for chords.

Each live show is pure chaos: brutal, improvised, and driven by jagged beats and crushing basslines. WIEZ doesn’t follow rules nor trends, just a relentless push for intensity. Expect a bunch of distortion, destruction, and a sound that never plays what you’ll count on.