The Elektrocution
Quand Jésus, il y a 2000 ans, a lancé la mode du revival en rescucitant Lazare, il aurait peut-être mieux fait de se péter une jambe. Malgré tout, cinq branleurs ont décidé en 2000 de faire un groupe de rock. Tout simplement. Oh, pas vraiment néo-machin ou post-chose, juste du rock, comme ils auraient voulu en entendre plus. <br><br> A l'époque, c'était perçu comme un passe-temps au mieux gentiment désuet, au pire un peu con. Mais l'idée a fait du chemin, et pendant que l'industrie de l'entertainment déterre façon "The Land of the Dead" des légions de trucs pourtant destinés à moisir jusqu'au jugement dernier, The Elektrocution fait le sien aussi. Impose son idée de la musique. Défonce les portes fermées. Passe par les fenêtres, comme un Rémi Julienne en mal d'amour. Crache sur le tapis persan en lycra 100% équitable qui orne crânement le pharaonique portail des marchands de merde sonore où les VRP de la musique forniquent à la machette avec les ambitions trahies des jeunes imbéciles heureux promus Kapos de la culture sous cellophane barbelé. Molardent aussi dans la soupe et ont le culot de demander le sel, SVP. Accouchent d'un mini Ep en 2003 qui leur ouvre les portes des festivals français, et tournent sans relâche dans un camion branlant et dans un pays qui finalement s'en branle de moins en moins... avec la sortie fin 2005 d'Open Heart Surgery, premier album en forme d'ultimatum à "ce qu'il faut faire". <br><br> Du rock'n roll pareil en plein revival disco 80's? Cons ou quoi? Peut-être simplement sincères. Trop hard pour être garage, trop crade pour être mainstream, cet album pue l'urgence et la gnôle discount des supérettes rouennaises qui n'ont pas encore eu la décence de cramer. <br><br>Humez donc, peuples de France et d'ailleurs, l'honnêteté, c'est comme ça que ça sent. La basket moite, le couteau entre les dents, incisifs et suants en live comme dans la vie, The Elektrocution ne ressortiront du ring que vainqueurs ou les pieds devant. Ces mêmes pieds qui vous auront botté le train avant. <br><br>
Length Of Time

Since 1997 LOT has covered Europe and the rest of the world (USA, Iceland, Canada) supporting bands such as All Out War, Cold As Life, Biohazard and Morning Again, as well as played numerous festivals like Pukkelpop (B), Evilfest (UK), European HC Party (NL), Hellfest-Syracuse (USA), Superbowl of HC (F) and Goodlife Summer Fest (B).

On their first 3 albums their vision of the world is depicted as a dark and pessimistic universe, their ideas and lyrics clashing with the usual clich..s and dreamers of the hardcore scene.

Length Of Time’s music is full of true background metal influences, allying with the sounds and the heavy weights of heavy metal, who are without mention Black Sabbath, Alice in Chains and other geniuses with obscure tendencies.

For 2003 Length Of Time puts their stamp on a style, which marks the end of a quiet year, spent preparing and recording their latest album "ANTIWORLD", which contains 10 tracks, exploring different themes, may it be utopia (rock 'n' roll, attitude, showbusiness,...) or devastation (globalization, war, society,...), embracing each human being.

"ANTIWORLD" stands for a symbol, well adjusted to our era, which we are free to define ourselves. The mixing and production was assigned to Andr.. Gielen (Channel Z..ro, Deviate, Asphyxia,...) and Philippe Renotte, who have captured the strength and freshness of LOT, available to them on one single, unique album "ANTIWORLD".

While the band was on the road with Suicidal Tendencies, Madball, Ignite and more, as part of the 2003 Eastpack Resistance Tour, "Antiworld" got released on Roadrunner Records in France.

After being 2 years and a half on hiatus, the band has taken the way back to the stages...