

DAGOBA, dernier album : « Post Mortem Nihil Est »
"Post Mortem Nihil Est est la belle claque que tous les fans du groupe français attendaient de se prendre depuis sept ans maintenant, et ça fait énormément de bien d'entendre de leur part un album d'une telle qualité." Hard Rock Mag 9/10
"Des titres tous plus puissants les uns que les autres (…) Post Mortem Nihil Est sans concession, est tout simplement la meilleure production du groupe à ce jour, celle qui devrait définitivement le faire changer de dimension" Metallian
"Post Mortem Nihil Est est une nouvelle déclaration de guerre qui continue d’affirmer le style Dagoba" Rock Hard
"Attention, album de l’année en vue !" Seigneurs du Metal
« Le chemin parcouru depuis 2001 est énorme. Ce cru 2103 est bon, très bon même ». VS-webzine 16/20
« J’aurai plutôt envie de dire que Dagoba vient de pondre un excellent album qui a mon sens est le meilleur de leur discographie et que ces 4 « bonzommes » ne comptent pas s’arrêter là. » Les Eternels 15/20
"Maintenant c'est sûr, Dagoba est vraiment de retour ! Le vrai Dagoba, celui avec des riffs terribles et un son digne de ce nom ! Post Mortem Nihil Est est la belle claque que tous les fans du groupe français attendaient de se prendre depuis sept ans maintenant, et ça fait énormément de bien d'entendre de leur part un album d'une telle qualité. Cette plaque m'a personnellement redonné envie de voir Dagoba en live, et de continuer à suivre leur parcours avec grand intérêt. Le choix d'enregistrer à Los Angeles avec Mader s'est révélé idéal, et Dagoba devrait maintenant récolter le fruit de cet excellent effort ! " Rock’n’Balls 17/20
La bio :
2000, après deux démos et une 1e partie de Rammstein à Marseille, l’histoire de DAGOBA commence réellement. Shawter (chant/machines) renouvèle entièrement le line-up. Entrent en scène Franky (batterie), Werther (basse), et Izakar (guitare). L’alchimie entre eux est telle qu’un premier EP six titres paraît dès 2001. Les réactions sont dithyrambiques, soulignant toute la puissance du combo. Ils partent alors sur les routes de France et c’est un vrai raz-de-marée qui détruit tout sur son passage. 2003, sortie de leur premier album éponyme, et encore une fois, la critique est unanime : "Impressionnant, énorme, une vraie tuerie !".
Les Marseillais évoluent d’ores et déjà dans une classe à part, tellement au-dessus du lot que leur nationalité n’aura bientôt plus la moindre importance.
DAGOBA vient de gagner son premier pari. Viens ensuite le second : une longue série de concerts auxquels le public se presse. What Hell Is About (2006) est un bestseller. Les échos de la presse sont encore plus flatteurs que lors de la sortie de leur précédent opus. Ne ralentissant pas la cadence de ses tournées, DAGOBA part à travers toute l’Europe au printemps 2006 avec In Flames et Sepultura.
En 2008, ils sortent Face the Colossus, un album qui se veut résolument différent afin de montrer une facette du groupe que le public ne connait pas. 2010, Poséidon est acclamé par la critique et est véritable succès commercial (entrée n°41 dans les charts français). Après avoir sillonné l’Europe sur plus de 180 dates, dont le Dour Festival et le Durbuy Rock, le groupe remplace Izakar (guitares) par Z en 2012.
2013-2014 : nouveau line-up, nouvel album et nouvelle tournée dont notamment 20 dates à travers toute l'Amérique du Nord avec Dir and Grey. Et évidemment quelques festivals prestigieux : Dour, Betizfest, Hellfest, Graspop, Park Rock…

Fondé en 2000 et tirant son nom d’un engin de torture médiévale, TREPALIUM sait à l’évidence réduire de l’os en poudre avec son death metal technique et multi-facettes. En latin, « trepalium » signifie également « travail», un concept qui n’a pas non plus échappé au groupe tant le combo ne
ménage pas ses efforts, comptant parmi les plus talentueux de sa génération quand il s’agit de se produire en live.
Depuis sa création, TREPALIUM fait partie du collectif Klonosphere, une association de formations françaises de talent dont font également partie KLONE ET HACRIDE, prêts comme eux à repousser les frontières musicales du death metal vers des horizons harmoniques et rythmiques plus diversifiés – tout comme leurs amis de GOJIRA, avec lesquels ils ont partagé l’affiche en
France lors de leur tournée en février 2009 et en lors de leur tournée Européenne en octobre/novembre 2012.
En quatre albums et plus de 300 dates, TREPALIUM a su s'imposer comme l'une des références du metal extrême français en partageant la scène avec des groupes de renommée (GOJIRA,
ABORTED, BEHEMOTH, MALEVOLENT CREATION, KRISIUN, BLOCKHEADS...)
et en se produisant au Fury Fest en 2005, au Brutal Assault en 2007 et au Hellfest en 2006, 2009 et 2012.
Prestations scéniques remarquées et maturité des compositions, mélangeant rythmes jazz-funk à un death metal déjà extrêmement groovy ont ainsi affirmé et confirmé l'identité de TREPALIUM, qui s'apprête à pousser ce mélange entre jazz et metal à son paroxisme avec la sortie de leur prochain
album “Voodoo Moonshine”. Enregistré, mixé et masterisé au Deviant Lab de Thibault Chaumont, l'album surprendra une fois encore par sa production soignée, accentuant toujours plus les multiples influences musicales du groupe.

Deep in Hate est une formation Brutal Deathcore issue de la région parisienne.
Le groupe a d’abord eu à son actif un maxi 3 titres, No Remorse, avant de sortir son premier album Only the Strong Survive en 2008. Celui-ci est signé chez DeadSun Records, et le clip de la chanson « Payback Time », après avoir remporté un vif succès auprès des internautes, se voit diffusé sur Virgin 17 TV et MCM lors de soirées spéciales Metal.
Le concept de Deep In Hate, basé sur un mélange de technicité Death et de groove Hardcore, est amené plus loin sur le second album du groupe, Origins of Inequality, paru en avril 2011 (M&O Music – Anticraft) et mixé et masterisé par Francis Caste.
La musique du groupe se dessine progressivement, comme les visages que l’on découvre sur la couverture de cet album, qui se détachent d’une masse à l’origine informe. Comme ces visages se faisant face, les mélodies et la technicité du Death se retrouvent alternés à la puissance et au groove du Hardcore, créant cette nuance si importante qui caractérise les représentants les plus importants de la scène Brutal Death. Cet album s’est vu illustré à travers deux clips, réalisés par Vincent Giorgetti – Halo production. Les clips, mêlant une photographie léchée à un montage nerveux, retranscrivent les nuances mêmes de la musique du groupe, d’une « violente beauté », toujours dans la continuité d’un album « à deux visages ».
Enfin, en 2013, Deep in Hate enregistre son troisième album « Chronicles of Oblivion » qui vient de sortir et est accueilli positivement partout en Europe et au-delà…
Animé de la volonté de proposer une musique plus mature et aboutie, de par l’expérience acquise lors de ses tournées, le groupe délaisse certains aspects progressifs de celle-ci sans pour autant aseptiser son propos. Il propose ainsi un album plus compact et homogène, sur le modèle des plus grands.
En décembre, un clip live tiré de la performance du groupe au Sonisphere voit le jour, afin d’annoncer la puissance avec laquelle Deep In Hate va continuer à écrire son histoire.