Dark, political, and snarling lyrics. Heavy, sharp guitar riffs, eerie noise-driven electronic melodies, and hammering rhythms. 
Irène handles all the electronics: synths, programming, sampler, etc. PP takes care of guitars, vocals, and the appropriate screams.

"The river that everything drags is known as violent, but nobody calls violent the margins that arrest her."   This quote from Bertolt Brecht is the best way to portray FLEUVE, the devastating new album of belgian outfit THOT. After a decade of challenging its music across several albums, EPs, videos, alternative versions, remixes and european tours, the gang lead by Grégoire Fray is going to bring a breath of fresh air in the industrial-rock and post-rock genres. Produced by Magnus Lindberg (Cult of Luna) and engineered in live circumstances, FLEUVE features 9 songs built around a powerful drums/bass/guitar trio, on which passionate vocals, heavy synths, clarinet laments and bulgarian choirs melt together perfectly. Thereby, FLEUVE is a luminous ode to the european continent and its cultural history, to nature's immuable inspiration, to women and transcendance. FLEUVE is due 20th of October 2017 on Weyrd Son Records.

En sept ans d'existence, Daggers a exploré la musique alternative d'une manière singulière. A la rencontre du punk, du metal, mais aussi du rock progressif, le quatuor a créé un son unique à travers ses albums, tous enregistrés live. Sorti en 2014, "It's not Jazz, it's Blues" se révèle comme l'album de la maturité pour le groupe belge. Qualifiée par la critique d'hypnotique, claustrophobe et brutal, cette sortie a permis à Daggers d'étendre son horizon bien au delà de l'Europe.

ROCKUS POKUS est l'intersection de plusieurs univers :   Après un changement de nom du groupe HABEMUS PApAM une nouvelle entité aux sonorités métalliques est née, encore plus fou et .... à vous de juger ;-)

Tandis que l'humanité se remet d'une période incertaine, des ruines de son ancienne formation se relève le Kraken. Après 3 ans de concerts à travers la Belgique, Krakenizer revient pour souiller vos oreilles de ses notes électro-brutales et vous emporter vers des transes psychédéliquo-crasseuses, aussi suintantes qu'un mur de hammam rempli des cadavres de votre décence.



Krakenizer c'était 4, c'est désormais 3. Une base plus solide et efficace. C'est pas loin de 50 concerts en 3 ans, à Bruxelles et à travers la Wallifornie. Krakenizer c'est un mélange de sonorités EBM associées à des envolées punk et des lourdeurs distorduesà‰; mais laissons l'ami Es-Gibt donner son avis :



«à‰Krakenizer, c'est une déflagration qui déploie un espace sonore fait de forces et de tensions, comme une flamme de vie humaine plongée dans la tourmente d'une planète en plein bouleversement géologique, sans que l'oreille puisse déterminer s'il s'agit de sa naissance ou de son apocalypse. Qu'un synthé débite une ligne de basse obsédante, qu'une rafale de toms tranche les plaques tectoniques, que la basse distordue déploie sa coulée continue, le décor mouvant se plante et nos corps sont emportés. Alors la chanteuse Lucienne virevolte sur le magma sonore pour en faire jaillir des gerbes de paroles en fusion, comme autant de protubérances solaires, qui nous éblouissent.à‰»