Okkultokrati is a band from Norway, formed in Oslo, Norway in 2008. Part of the Black Hole Crew, along with Haust, Night, Dark Times, Sumar, Blackest Woods and Drugged SS. Okkultokrati spawned from the Black Hole Crew in 2008 and has been with Fysisk Format ever since, spreading their own unique take on metal-fueled hardcore punk. Aside from a series of 7″ EPs and splits with fellow crewmates Årabrot and Haust, they have so far released the two full-lengths “No Light For Mass” in 2010 and “Snakereigns” in 2012, each release delving deeper into the subterranean crypts of the underground and returning with more of all that genre-exceeding darkness which Fysisk Format loves. Here, have a knockout cocktail-mix of 80s hardcore, the same era’s metal underground and the ever-present ghost of Black Sabbath. Or as Brooklyn Vegan put it: “Okkultokrati is definitely rooted in punk, but in the same way that Venom and Motorhead is. Slithering, metallic black rock and roll with moments of crushing doom is the central theme.” Okkultokrati operate with a broad definition of “the occult”; though their cover artwork’s always clad in uncompromising black and white, Sebastian Rusten’s illustrations for all of the band’s releases represent everything from sci-fi, extraterrestial themes to Theodor Kittelsen-inspired natural folklore. In this, the visual aesthetic mirrors the musical one: varied sources of inspiration, but all dirty and leaving no stone unturned in terms of old school nihilism.

En sept ans d'existence, Daggers a exploré la musique alternative d'une manière singulière. A la rencontre du punk, du metal, mais aussi du rock progressif, le quatuor a créé un son unique à travers ses albums, tous enregistrés live. Sorti en 2014, "It's not Jazz, it's Blues" se révèle comme l'album de la maturité pour le groupe belge. Qualifiée par la critique d'hypnotique, claustrophobe et brutal, cette sortie a permis à Daggers d'étendre son horizon bien au delà de l'Europe.

Serpents de câbles, micros lo-fi et guitares fétichisées, les influences de Deadline se mêlent et s'entremêlent même titre que leur barda métallique.
Formé en 2013 au Pays Noir (aka Charleroi, Belgique), le trio aiguise d'abord ses cordes sur des riffs punks saturés avant d'être touché par le maléfice de Robert Johnson. Se vouant désormais à une musique obsédée par son héritage, les trois musiciens vous le diront ; ils se savent hantés par les fantômes du blues de la musique roots qui ne cessent de réapparaître.
Laissant le blues imbiber leur patte sonore, Deadline n'en perd pourtant pas moins son noyau dur, empreint de tungstène et de gasoil, résolument gasoline rock.
Non moins schizophréniques, les deux chanteurs antagoniques Quiet Ben et Simon Wray s'échangent ainsi tour à tour leurs instruments sur scène ; guitare, basse, harmonica, dans un duel électrique et sur le jeu de batterie maîtrisé de Simon Blue King.
Depuis sa formation, le groupe a ainsi pu déverser son rock'n'roll dans des salles comme le Rockerill, l'Eden, le Magasin 4, l'Atelier 210, la Nuit du Blues, et l'Humo's Rock Rally.
Leur deuxième EP Those Who Inhabit This Land est sorti en novembre 2018.