Flyer
Grimskunk
Grimskunk

Grimskunk, le groupe mythique psych-rock-punk indépendant montréalais est de retour avec leur nouvel album « SET FIRE! »

Enregistré par Gus Van Go et Werner F (Priestess, Vulgaires Machins) à Sydney en Australie, la suite tant attendue de « Fires under the road » est avant tout un voyage à l'autre bout du monde, ou la spontanéité et l'instinct ont été mis de l'avant tout au long du processus créatif. Puisant dans leur histoire riche d'influences et d’ingéniosité, l'album capture l'énergie et l'émotion brute de l'esprit Grimskunk; un tourbillon de colère et d'outrage punk, mêlé à l'idéalisme quasi-hippie de ceux qui osent rêver.
 

Comme toujours, le groupe s'est laissé imprégner et inspirer par leur environnement « Down under ». On y trouve l’artiste invité aborigène Tjupurru, qui joue de son « didjeribone » (Instrument de musique qui est le croisement d’un Didjeridou et d’un trombone) sur les pièces « Falling into shadow » et « Set fire to the nation ». La touche australienne est bien distinctive sur l’album, elle nous suggère un son obscur, effleurant l’ambiance de transe.

Visuellement, la pochette de l'album a été créée par l'artiste aborigène Gambirra Illume. L’œuvre combine le style et les thèmes traditionnels de l'art aborigène avec un côté sombre et punk à l'image des paroles engagées pour lesquelles Grimskunk a toujours été reconnues.

SET FIRE! a été enregistré avec une approche « old-school »; une batterie vintage des années '70 comportant une grosse caisse de 26", des amplis de guitares des années '60 et des micros rares typiquement australiens. Le tout, trouvé sur place dans une chasse aux trésors frénétique à Sydney! Le résultat est le fusionnement du pysch-rock des années '70; partant de l'orgue sinistre de Joe Evil, suivis des rythmes sauvages du nouveau batteur Ben Shatskoff et  des guitares hurlantes qui mettent en évidence l'urgence de l'énergie. Les paroles engagées du punk viennent compléter la formation;  c’est un mélange entre l'enfant bâtard de Led Zeppelin, Pink Floyd et The Clash en version accélérée!

S'attaquant sans relâche à la bêtise humaine et aux maux de la société, l'album est un appel aux armes urgents pour la paix, une révolution du cœur; à rejeter le climat actuel d'étroitesse d'esprit et d'intolérance, se débarrasser de l'apathie pour créer un avenir meilleur!

 

PPZ30 (BE) Rock / Funk / Freak
PPz30

PPz30 est un groupe hors norme, fidèle à ses excentricités, frapadingue sur scène et dans un studio, osant mélanger rythmique de plomb, ambiance de dessin animé et mélodies catchy, groove basique et rap éructé par une mitraillette à voix humaine.

Avec ce sixième album, PPz 30 nous livre 11 morceaux d’excellente facture, renouant avec ce que le groupe a fait de mieux. Le quatuor de départ s’est modifié et agrandi au fil du temps : agrémenté non seulement d’un DJ, qui bricole des sons aussi improbables qu’efficaces, mais aussi désormais d’une véritable section cuivre : la « Mafia horn section » qui mâtine le tout d’une bonne dose de swing. L’ensemble est soudé comme jamais. « OVNI TENDER » est un disque généreux sur lequel Bruce et ses comparses délirent tant et plus, comme l’annonçait le single « Get a nut », paru en mars de cette année. Le propos est direct et soigné, tout comme le graphisme, et ne tombe jamais dans la suffisance. L’album emmène l’auditeur dans un voyage surprenant et sidérant à travers les ambiances aériennes de « Cosmik », le groove carrément hip-hop de « All these kings » en passant par le très rock’n’roll « Crazier by the minute », à la rythmique percutante. Ovni tender, ovni sweet…

A ranger au rayon des valeurs sûres, PPz 30 existe depuis 1992. Ils ont forgé un style propre, le « Freaka-Rocka-Funky-Dirty », qui passe tous les autres à la moulinette. Qui ne se souvient pas du fameux « Jumping Jehosaphat », qui leur rallia dès 1995 bien plus que le public alternatif de départ ? Ils ont écumé les scènes de tout le continent (Italie, Suisse, France, Allemagne, Espagne,Hollande,…), jouant régulièrement la tête d’affiche. Voici une année, ils se sont produits avec Fishbone, les maîtres américains du groove festif et déjanté, au Botanique, à Bruxelles.

Contingent
Contingent
Riffs cinglants, textes récits sociaux en français, morceaux courts et ultra-rapides, Contingent a écumé la scène Punk-Rock belge depuis sa formation en mars 1979 par le guitariste Éric Lemaître et Bob "Killer" Seytor au chant, avec Jo "Le Rat" Fonthainas à la batterie et John "Opposition" Baine à la basse. En août, John retourne en Angleterre entamer sa carrière de poête activiste en tant que "Attila The Stockbroker", Guy "Molotoff" Delcroix le remplace, cette formation enregistre le EP "Police Control" en février 1980. En septembre, Daniel "Le Chinois" Wang remplace Jo à la batterie. Juillet 1981, le groupe enregistre 15 titres en un week-end pour un album. Le groupe se sépare un mois plus tard. En 2007, reformé à l'initiative de John "Attila", le groupe se remet à tourner et Éric enregistre tout le répertoire actualisé. En 2011, les graphistes Patrice Poch et Elzo Durt organisent l'expo-concert "Bloody Belgium", ils font part au groupe de l'intérêt qui existe pour les enregistrements de 1981. Le décès d'Éric Lemaître en 2012 semble mettre un point final à Contingent. En janvier 2013, à l'initiative du Magasin 4, une grande commémoration à sa mémoire décide le groupe à publier le CD "Destinée Fragile", avec les enregistrements de 2007. Puis James Neligan les rejoint, c'est le guitariste idéal pour une reformation qui rendra hommage à un grand bonhomme!   En 2014, le 45t "Homme Sauvage" - "Vivons Très Vite", deux titres mixés de la session de 1981, est publié sur le label Poch Records, en collaboration avec Danger Records.   2015: L'album "CONTINGENT" de1981, est publié par POCH RECORDS et DANGER RECORDS. Un LP vinyl 14 titres, avec insert 4 pages contenant les paroles en français et en anglais, des photos d'époques ainsi que l'historique du groupe.
Attila the Stockbroker's Barnstormer

Attila the Stockbroker est actif dans la scène punk anglaise depuis 1977 en tant que bassiste et activiste dans le mouvement ‘Rock Against Racism’. A la fin des annes septante il vivait quelques mois a Bruxelles, ou il jouait de la basse dans CONTINGENT, et en 1980 il a commence a fair son truc solo en tant qu’Attila, alors ca fait maintenant 27 ans! Parallèlement à ses concerts solo, où il mêle poésie des rues et chansons accompagnées à la mandola, tel un troubadour enragé des temps modernes, Attila monte un groupe BARNSTORMER, fonde en 1994, et c’est avec ce groupe qu’il va jouer ce soir. Ce groupe propose une formule plus musclée tout en restant la synthèse de tout ce qu'il est : revendicatif, sincère et enthousiaste. De l'énergie, des mélodies, de bons textes et une vraie présence, le tout accompagné de la touche originale qu'apportent les instruments plus traditionnels comme le violon et les flutes a bec. Pensez THE CLASH, mais pensez aussi un peu MALICORNE!

Jusqu’a present, Attila a fait plus que 2500 concerts dans 19 pays et sorti 4 livres de poesie et environ 18 LPs/CDs - en 2005 il a fete son 25ieme anniversaire avec un grand concert dans sa ville natale de Brighton.