C’est à la fin du xx ème siècle, dans les contrées magiques de Jamadoc, au milieu des garrigues et des étangs Montpelliéraines et gardois, que naquit la joyeuse troupe de troubadours de Roultaboul et les banaboo. Depuis ils ne cessent de distiller, comme remède à la morosité, un coquetelle de sud (aux huiles essentielles d’herbes d’étangs et de garrigues) à base de bonne humeur, de joie de vivre et d’humour plus que douteux. <br><br> Après deux premiers albums à caractère thérapeutique*, auto-produit et vendus aux alentours de 10000 exemplaires, « Ouverture de la chasse » (choisi par la FNAC, pour représenter la nouvelle scène française auto-produite) et « On descend tous du singe » la bande de gais lurons se’est attelée à la composition de leur troisième galette. Bénéficiant d’une grosse production (entendons par grosse plutôt le terme chère, soit l’équivalent a peu près de 28 galettes auto-produites, soit 4069 paquets de lessive ou encore 957 836 rouleaux de papier toilettes 1er prix), un mois d’enregistrement au studio le Chalet à Bordeaux et deux mois de mixage au studio Condorcet de Toulouse, « L’important c’est l’essentiel surtout quand ça compte pour du beurre » Reprenant les recettes qui ont fait la réussite des précédents compak disk du groupe celui-ci reste toujours réalisé avec un absolu manque de mesure et un naturel dé« con »certant. Soit un mélange, tout sauf savant, de compositions variées, de bonne humeur, d’esprit mal placé. La recette : prendre un peu de tout les styles de musique existant et ayant existé (variété, biguine tropicale, punk, rock, funky, disco, reggae, swing, western ...). Ajouter une bonne dose de ska pour lier le tout et compléter par des paroles expliquantes, engageantes et joviales. Assaisonner avec quelques sketches subtilement lourds et humoristiques, mélanger le tout et passer à table. Cette recette plaira assurément à tout votre entourage, famille et animaux de compagnie, mari, femme, enfants, grands parents. Elle reflétera parfaitement la philosophie peu raisonnable du groupe. A savoir l’art et la manière d’aborder de façon légère des sujets graves et de façon grave des sujets légers. Simples et sympas, d’une authentique sincérité c’est véritablement sur scène que le groupe exprime toute sa générosité et son enthousiasme délirant. Avec plus de 400 concerts au compteur, partageant la scène avec de nombreux artistes réputés (Ska-p, Sinsémilia, Marcel& Son Orchestre , Alphablondy, La Ruda, Massilia sound system, les Ogres de Barbaks, La Rue Ketanou, Babylon Circus ...) celui-ci s’est forgé une réputation de joyeux dingues fous furieux dès lors qu’ils foulent les planches. Appuyés sur scène par deux techniciens chevronnés, ces six garçons ont une tendance naturelle à faire de leur concert un grand moment de détente. Véritable potion magique peuplée d’irréductibles gauloiseries. <br><br>

Unis comme les sept doigts de la main, les gars d'Orfeo n'arrêteront qu'une fois l'univers soigné par leur ska-reggae-swing-fanfare-rock anti-dépressif. Sur scène, quatre souffleurs [trompette - trombone - sax alto - sax baryton] déboulent tel un seul homme aux côtés d'un power trio incisif et sans chichis. Orfeo n'a rien à cacher, raison pour laquelle il chante en français ses hymnes anti-classes. C'est tout public. C'est l'accomplissement du miracle pop. Alléluia. <br><br> Fondé en avril 2004, le groupe originaire de Liège a joué plus de 90 concerts depuis septembre 2004 (Eupen Musik Marathon, Enfanfare, Francofolies de Spa, Fêtes de Wallonie, Bucolique Ferrières Festival, Fiestacity, Spirit of 66, Arles, Nîmes, Bel'zik, Gaume jazz, ...). Le 1er album du groupe (14 titres), "Foutoir de poche", est sorti en septembre 2007. <br><br> Scènes branchées, festivals familiaux, scènes associatives urbaines ou fêtes villageoises, le leitmotiv demeure : intéresser tous les publics et transcender les clans. <br><br>