FRIDAY 17.03.2006 : FRI 17.03.2006 :
Shogun
Brussels, Europe, September 2004... Six guys who hardly know each other join forces and minds in the city's most famous Magasin 4. The offspring is an all-in-one combination of what today's music is all about (ska, rock'n roll, punk, hardcore, ragga, reggae, death metal...). January 2006: after long talks, Fred and us decided to part ways. As we had no news for a long time from old punk Hub, we assume he chose to leave the band. We warmly welcome Michel (also playing in Skeptical Minds) as the new guitarist. We had the luck, and honor to play, amongst others with: Tagada Jones (FR), Freedom for King Kong (FR), Wickeda (BUL), Skunk (FR) and the mighty SUPERBUTT & CLAWFINGER! October 2006 : the new drummer is in. Yohan will be beating the shit out of his drums for the good and the worse.
TAGADA JONES (FR) Punk / Hardcore / Rock
Tagada Jones

 Tagada Jones, déjà 20 ans d’existence ! 20 ans aux cours desquels le groupe a parcouru 24 pays, produit plus de 1600 concerts et 7 albums studio, rien que ça ! Tagada c’est aussi une conscience sociale, un engagement politique et surtout une référence en terme d’indépendance. Dignes héritiers de la scène alternative française, ils sont reconnus par leurs prédécesseurs (Bérurier Noir, Parabellum, Shérifs..) comme étant l’incarnation du « Do it yourself » français.

Si le combo a démarré sa carrière il y a vingt ans sous la forme d’un quatuor 100 % punk-rock, sa musique avait pris une nouvelle orientation quelques années plus tard avec l’arrivée d’un cinquième membre, Gus, second chanteur et manipulateur de samples. Après son départ, en septembre 2007, Tagada Jones s’est donc retrouvé de nouveau à quatre et, depuis, continue de composer une musique fidèle à ses racines, même si l’aspect électro-indus n’a pas disparu. On constate, en effet, que les références du groupe rennais couvrent plus que jamais un spectre musical allant du punk anglais, des origines à sa version californienne des années 90, en passant par l’alternatif hexagonal des années 80 ou encore le métal ou le hardcore. Des influences qui ont été parfaitement digérées pour aboutir finalement à une musique qui ne ressemble à rien d’autre qu’à du Tagada Jones !

Si la musique a évolué, elle reste immédiatement reconnaissable, notamment grâce à la voix de Niko, à son chant enragé et à ses textes militants. Des textes qui ont d’ailleurs connu eux aussi une certaine évolution au fil des ans.

Désormais, Tagada Jones ne montre plus du doigt, ne désigne plus, mais fait passer son message de façon plus globale, en abordant des problèmes de société plus larges qui ne peuvent laisser personne indifférent. Violences conjugales, capitalisme effréné, oppression, guerres, racisme, écologie, politique… Les thèmes restent graves, la vision terriblement lucide, et l’ensemble brosse un portait plutôt sombre de la société actuelle.