Flyer
Skarbone 14

Mix détonnant de ska, rock, musique du monde, punk et chanson française, l'aventure Skarbone 14 débute il y a plus de 20 ans, au printemps 2001. Rapidement, le collectif se forge un nom à coup de lives explosifs et par le bouche à oreille. Avec des centaines de dates un peu partout en Europe, au Canada et au Burkina Faso, l'infernale machine Skarbone 14 est bien huilée et déverse un déluge continu de watts et de sueur à chaque passage.

Dès le départ, le groupe choisira l'indépendance et l'autoproduction. Un choix du DIY (« do it yourself ») plus que jamais assumé, bien loin de la folie commerciale et des courants mainstream omniprésents.

Également bien actif en studio, le collectif cumule 1 Ep et 6 albums.

POULYCROC (BE) Festif / Ska / Punk
Poulycroc

En 1996, Jef, Flo et deux potes commencent, comme beaucoup de groupes débutants, par jouer des reprises mais celles-ci prennent une tournure décalée et festive. L’année suivante, ils acceptent un premier concert et un tarif de friterie leur donne l’inspiration pour baptiser le groupe, s’inscrivant parfaitement dans une belgitude folklorique et humoristique.


La «mayonnaise» prend très vite, le public est friand de leur rock rigolo et de leurs interprétations festives. Les concerts s’enchaînent. Leurs affinités avec le folklore wallon les pousse à interpréter en rock des morceaux joués habituellement par des fanfares. Ce mélange de punk-rock, de folklore et de chansons kitsch n’attendait qu’une chose pour accentuer son coté festif : des cuivres !


Au début des années 2000, le groupe prend donc sa forme actuelle de joyeux collectif cuivré, décalé et festif. Pendant les 10 ans qui vont suivre, ils vont sillonner les routes de Belgique et d’ailleurs pour jouer plus de 350 concerts. Ils investissent des scènes de plus en plus spacieuses, le festivals de Dour, les Francofolies de Spa, le Bal National à Bruxelles et bien d’autres...
A la demande de leurs fans, ils se décident à enregistrer un premier «vrai» album en 2007. La même année, il sortent un double DVD contenant un live et des heures de capsules vidéo, émissions TV et reportages en tout genres.
En 2011, ils décident de mettre le groupe en «stand-by» car il leur était impossible d’aller plus loin (tournées à l’étranger, etc...) sans remplacer des musiciens, chose inconcevable car l’amitié de toute la bande a toujours été le ciment du groupe.


Les musiciens se consacrent alors à d’autres projets musicaux. Ils accumulent de nouvelles expérience enrichissantes. Certains par des tournées internationales de Corbillard, Anwynn, ou Skarbone 14, d’autres par des concerts à Forest National, aux Francofolies de Spa et au Cirque Royal avec le Grand Jojo, d’autre encore par le théâtre ou l’impro.
4 ans plus tard, un heureux hasard de calendrier et une folle envie de remonter ensemble s’amuser sur scène les poussent à organiser l’enregistrement d’un second album studio, suivi d’une série de concerts pendant l’été 2015.
Aucun d’entre eux ne sait ce qui suivra... et c’est tant mieux !

Airport City Express
Formé en 1999 par Brieuc Bauthier et Michaël Verbeeck, Airport City Express pratique une pop-rock influencée par les maîtres du genre lo-fi, tels Grandaddy et autres Pavement. Les morceaux évoquent des thèmes liés à la sous-culture, des abstractions absurdes, ou encore célèbrent les évènements anodins de la vie quotidienne. <br><br> Originellement duo acoustique, ACE a très rapidement intégré le collectif Jaune Orange et fourbi ses premières armes en concert à coups de guitare folk, de mini-synthé et de bonne humeur. La formation s’est étoffée et électrisée plus tard afin d’acquérir une dimension scénique plus importante.  Depuis, Airport City Express a écumé de nombreuses salles, dont notamment le Botanique, la Soundstation, l’Entrepôt, et présenté ses compositions variées à un public conquis par la sincérité qui se dégage des concerts du groupe. On notera des premières parties pour des artistes comme  The Unicorns, Fence, Metal Molly, Herman Düne, Malibu Stacy, Flexa Lyndo ou encore Jeffrey Lewis. <br><br> Chantre du home-studio, Airport City Express apprécie particulièrement l’esthétique « do it yourself », et, comme on l’a précédemment écrit à son sujet, « fait du manque de moyen une arme stimulant son inventivité ». Caractéristique que l’on retrouve dans les deux démos commises par ACE à ce jour : « Lower than Fi » et « An ACE product ». Ces dernières ont par ailleurs connus les honneurs de chroniques très positives, dont celles du magazine français Magic ! <br><br> Airport City Express prépare actuellement la sortie d’un prochain disque avec de nouvelles compositions à l’esprit live plus marqué, témoignant de l’investissement collectif croissant du groupe devenu quintet. Si la couleur lo-fi et déstructurée reste tenace, le soin particulier apporté à l’écriture des nouveaux morceaux indiquent un nouveau tournant sur le chemin d’ACE. Un de ces morceaux (« Mechanical Robots ») a permis à Airport City Express de remporter le concours Pure Demo en janvier 2006. Le groupe a également gagné le concours Rock the City : Do you know who’s gonna rock you, et figure parmi les lauréats du concours Verdur Rock 2006. Enfin, ACE sera cet été en télévision dans le cadre de l’émission musicale Label One. <br><br>
Mad in UK
L'idée de former Mad In UK apparue pendant les grandes vacances 2005, Adrien et Alice veulent monter un groupe différent de ceux qu'ils ont chacun de leurs côtés . Au départ , ils prennent Robin pour la batterie mais vu que Robin ne sait pas jouer de batterie , il deviendra le deuxième guitariste . En octobre 2005, le groupe commence donc les répètes dans la cave d'Alice sans batteur. Fin novembre 2005, suite à une recherche d'un batteur par internet, ils tombent sur Miguel qui devient directement batteur du groupe. Après 5/6 répétitions avec celui-ci, Mad in UK fait son premier concert à la Péniche Fulmar. Après quelques autres concerts , Mad In UK va enregistrer sa première démo le 18 mars 2006 au Home Drumming (www.homedrumming.net) (à écouter sur www.myspace.com/madinuk) . Mad In UK c'est : - Alice au chant et à la guitare - Adrien à la basse - Robin à la guitare - Miguel à la batterie Mais Mad In UK c’est surtout : 3 paires de couilles dirigée par une main délicate (sauf dans les pogos) et une mascotte nympho . Un contact avec les gens avant tout à travers la musique et par les textes , des compos au rythme rapide , le tout avec une bonne ambiance (pogos et bières compris ^^) .
Until Tears
C’est durant l’été 2006 que le jeune groupe Until Tears verra le jour. Celui-ci, né des cendres de The Shiners’, ne comprend à l’heure actuelle plus que deux musiciens de l’ancien quatuor. Suite au départ de Fabian (guitare), The Shiners alors composé de Léo à la batterie, Axel à la guitare et Yann au chant décide de se mettre à la recherche d’un nouveau guitariste et d’abandonner toutes leurs chansons, dans le but de prendre un nouveau départ. Très vite rejoint par un jeune bassiste du nom de Romain encore inexpérimenté pour ce qui était de faire de la musique en groupe, il était devenu urgent de trouver un autre guitariste. C’est par hasard que Yann va proposer à son ami d’enfance Benjamin (avec qui il avait fondé un groupe auparavant ndlr. Porn Flakes) de venir faire un essai au sein du groupe en temps que guitare rythmique. Ayant toujours occupé le poste de chanteur, celui-ci accepte cette nouvelle expérience avec enthousiasme. Les musiciens étaient tous là et la motivation était au rendez-vous. Mais sans salle de répétition, ces cinq pauvres garcons n’iraient pas bien loin. Voyant leur fils et ses amis dans la détresse, les parents de Romain acceptèrent que le groupe répète temporairement dans la cave de leur maison, le temps qu’il trouve une salle de répète définitive. Il s’avéra que celle-ci fut cette même-cave. Tout était en place. Bien que le matériel ne fusse pas très performant et que les musiciens ne se connaissaient pas encore, c’est dans le courant du mois de septembre que Romain, Axel, Léo, Benjamin et Yann décident de se réunir pour la première fois dans les sous-sols de chez Romain pour une réunion de mise au point et de prise de contacts. Tout se déroule à merveille et le groupe conclut que le samedi suivant tous les musiciens apporteraient leur matériel. C’est également au cours de cette première rencontre qu’ils décidèrent du nom du groupe ; il fut baptisé Until Tears. Les débuts ne furent pas faciles. Travailler en groupe n’est pas quelque chose qui s’apprend en une poignée de jours. Le matériel était également un facteur qui ralentissait la progression. Comme chaque fois que l’on joue pour les premières fois en groupe, il est d’usage de jouer des reprises et Until Tears n’échappe pas à la règle. Pourtant, le groupe avait tout de même aboutit à une première composition au cours de cette première répétition : Faire Nos Armes était née. Les répètes se font de plus en plus fréquentes et de plus en plus productives, le matériel s’améliore à une vitesse incroyable et quelques nouvelles chansons fleurissent telles que On Ne Vit Qu’une Fois ou encore Passion Occulte. Mais très vite un problème tourmente l’esprit des musiciens. Axel, qui était un des premiers à se lancer dans cette aventure, ne parvenait plus à suivre le rythme du groupe. Il n’assistait plus à toutes les répètes, n’exprimait aucune motivation et ne parvenait pas à composer convenablement. Il devenait un poids pour le groupe. Après mures réflexion, c’est avec regret mais équité que le groupe pris la décision de se séparer d’Axel. Cela suscita quelques indignations, et pourtant cela était indispensable... Le charismatique bassiste qui répondait au nom de Romain ayant des contacts un peu partout, réussit à dénicher une session d’enregistrement gratuite en studio ! C’était une occasion en or et les Until Tears ne crachèrent pas dessus. Ils se mirent d’accord pour On ne vit qu’une fois. Tandis que le Set List s’améliorait, les relations entre les quatre musiciens devenaient de plus en plus fraternelles. Les Until Tears avaient même coutume d’inviter chaque samedi différents amis pour assister aux répètes et vivre pleinement la musique du groupe !