The Pookies
The Pookies n’est pas le genre de groupe qui s’est monté au lycée, ses membres n’étaient pas amis, n’ont pas grandi ensemble comme frangins ou voisins et leurs parents ne se connaissaient pas. <br><br> Printemps 1999, le groupe débutera dans un style très californien, un punk rock rapide, simple et mélodique (EP « Dirty Flower » sorti sur On the Ring Rec, 2001) pour se laisser tenter aujourd’hui par des riffs plus Rock n’roll, tirant parfois vers l’emo, s’inspirant de groupes tell que Randy, Propagandhi, Hot Water Music ou encore Foo Fighters dont leur nouvel album est témoin. <br><br> Jonglant avec les occupations extra musicales de chacun, Mr Follain, Mr Gangloff et Mr Measson ont défendu leur répertoire live en festivals, clubs ou bars, plus de cent fois ; tantôt en France (Lyon, Paris, Bordeaux, NancyÂ…), tantôt sur le territoire suisse (Genève, Lausanne, Zürich, LüzernÂ…) ou en Angleterre (Exeter, ManchesterÂ…) avec un public toujours très réceptif. <br><br> Août 2005, le trio entre au studio NSR pour y enregistrer son premier album « Stunts, Fights and Mariachies » qui sortira le 25 octobre grâce à Dirty Witch Rds (Sons of Buddha, ISP). Un album qui tranche tant par l’originalité du son que par sa couleur hispanique. <br><br> The Pookies est un trio, et bien qu’ils soient très différents les uns des autres, chacun des membres est vital à la survie artistique du groupe car c’est sans doute le relief de leurs caractères combinés , d’où émane toute leur énergie, qui les gardera sur le bon cap. Celui du Rock n’ Roll..
State of nature
de jouer une musique énergique et spontanée qui va à l'essentiel, ce qui implique souvent des chansons courtes, mais efficaces. Le groupe chante en français même si ses influences essentielles sont anglophones (Bad Religion, Guttermouth, the Dwarves, Frenzal Rhomb, SnuffÂ…). On les a déjà comparé notamment à Rancid, Social Distortion, les Wampas... Les textes du groupe traitent avec humour et désinvolture de thèmes et de situations diverses (la plage, Noël, l'alcool...) en maintenant une agressivité presque permanente, comme pour combiner une insolence et une innocence enfantine avec la brutalité provocatrice du punk rock qui l'a nourri. Depuis leur premier concert en 2003 le groupe a joué une soixantaine de concerts, dans des cafés comme dans des festivals, partageant l'affiche avec des groupes comme Leptik Ficus, The Dauntless Elite (UK), Guérilla Poubelle, Les Caméléons, J’aurai voulu, Brigada Flores Magon, Vortex, Poulycroc, PO Box, Skarbone 14, Tod PoleÂ… La première démo 5 titres, "Vachement sympa", a été enregistrée en novembre 2004 au Color Studio et a permis au groupe d’apparaître sur quelques compilations distribuées en France et en Belgique. La formation actuelle est en place depuis Juillet 2006 et vient de sortir son 1er album 14 titres en Février 2007 avec le soutien de Deadsun Records.
Dirty Bees

Groupe belge jouant un mélange de punk cuivré et de ska, Dirty Bees allie la puissance d’une guitare, d’une basse et d’une batterie avec l’énergie et la mélancolie d’une trompette et d’un saxophone. Leurs textes incisifs, chantés en français ou en anglais avec cette rage qui les entraine d’une scène à l’autre, parlent de leur conception du monde, de leur vie au quotidien, des valeurs qui les animent et portent un regard critique sur le monde qui les entoure.

Sur la scène depuis 2006, Hadri, Nico, Kev', Arnaud, Thierry et Piet enchainent les dates pour distiller leurs mélodies et partager avec un maximum de monde une musique accessible mais engagée, entrainante mais travaillée…

FREE TAX <br><br> Tout commença en septembre 2005. Le groupe Free tax s'est formé grâce à un autre groupe nommé Béret d'h aujourd'hui éteint, après le départ du bassiste pour des raisons personnelles. Tous les membres de l'ancien groupe décident de former un nouveau groupe : Free tax. <br><br> Evidemment le problème est qu'ils n'ont plus de bassiste et décident donc d'en chercher un. Un mois plus tard, un de leur pote, Guizmoh, les rejoint en tant que bassiste. Le groupe enchaîne répètes après répètes dans la cave miteuse de leur école et dans le local scout des potes. Après quatre mois de répète ils comptent a leur actif 7-8 morceaux sans compter les ratés et décident donc de se lancer a la recherche de dates pour commencer a faire des concerts. <br><br> A force de persévérance et de motivation ils trouvent quelques groupes qui sont prêts à les aider et leur proposent des dates! Leur première concert se déroulera le samedi 18 mars à Silly, après avoir reussi celui-ci, ils decident donc de se lancer serieusement dans la recherche de dates. Ils enchainent donc quelques concerts avant d'aller pour leur première fois en studio pour enregistrer 4 titres qui sortiront sur un split avec utopia en octobre 2006. <br><br>
Nothing For Free
NOTHING FOR FREE <br><br> L'existence de Nothing For free débute officiellement en octobre 2003. Pour autant, pour ses membres l'aventure débute bien avant, en 1999, avec la création du groupe Didn't. Pendant les premiers temps le groupe cherche son style entre punk rock ska-punk. <br><br> Mais à partir de 2001 les choses s'accélèrent et Didn't réalise une quarantaine de concerts avec des groupes aussi variés que Minimum Serious, Settlefish, Zeu Discomobile, The Marxmallows, Combi Drivers, etcÂ… La fin de l'année 2003 marque un tournant, le groupe se détache du ska-punk pour se tourner de façon plus franche vers le punkrock mélodique. <br><br> Nothing For free naît de ce changement de style mais continue avec les mêmes membres. La NFF League ne veut pas perdre de temps et après à peine deux mois d'existence, la démo 1st experience voit le jour. L'objectif de cette première production est de faire découvrir le punk énergique teinté de mélodies de Nothing For free, afin de lui faire découvrir de nouveaux horizons. Durant l'année 2004, Nothing For free accumule les concerts et partage notamment la scène avec Straight Away, Five Days Off, Issue 16, Bigsit, Jetsex, Unexpected, One Step Out, Soup Toxic ou Human Tanga,... <br><br> En fin d'année, le groupe sort pour la première fois de la région pour un concert à Paris. Sur la lancée le groupe va continuer à s'exporter au début de l'année 2005. L'été 2005 est le moment choisi par les musiciens pour donner une nouvelle dynamique au groupe. Malheureusement, le départ de Wawa pour Nantes ralentit un peu les choses et le groupe doit se mettre en quête d'un nouveau batteur. Francis rejoint donc Nothing For Free fin octobre et depuis le groupe prépare sa nouvelle démo 2nd Chance et se prépare à reprendre la route une fois le travail en studio terminé ! <br><br>